La version pour ceux qui sont pressés...

Mon but est de permettre à chacun de devenir créatif.ve pour qu’ensemble nous contribuons à rendre un monde meilleur. 

florence MASLANKA CREATIVE ENTREPRENEUR

La version pour ceux qui ont un peu plus de temps...

En leur transmettant un ensemble d’outils, de stratégies, d’habiletés sur la créativité + des habitudes, une attitude, un mindset de confiance pour développer leur intelligence créative,

 

j’accompagne ceux qui sont inquiets face l’accélération des transitions sociétales, technologiques, environnementales,

 

à s’autoriser à créer, à imaginer de nouvelles idées par eux-mêmes,

 

pour devenir autonome afin d’avoir la capacité de s’adapter concrètement face à un avenir complexe et en pleine mutation.

Pour qui ?

pour les personnes qui pensent qu’elles ne sont pas créatives,
pour les personnes qui pensent qu’elles ont trop d’idées et ne savent pas par où commencer .

Pour ceux qui ont le temps de prendre un petit café...
et qui veulent savoir comment j’ai transformé cette petite remarque...

Toi de toute façon tu ne peux pas faire comme tout le monde...

en...

Flo, tu n’aurais pas une idée pour…

Alors c’est vrai….

J’ai toujours posé beaucoup de questions.

J’ai toujours voulu comprendre pourquoi « on devait faire ce qu’on devait faire ».

Je n’aime pas, ne pas comprendre. J’ai besoin de sens.

Faire pour faire,  là c’est compliqué pour moi.

J’avoue, j’aime découvrir, je suis curieuse, j’aime apprendre, j’aime comprendre.

J’aime les premières fois, j’aime faire ce que je n’ai jamais fait.

Je n’aime pas refaire la même chose pendant des années, encore moins pendant toute une vie, surtout quand on peut améliorer les choses, les optimiser.

Au début...

Le 1er jour du reste de ma vie : à 18 ans, je « monte à la capitale », je ne connais rien, ni personne. Pour moi, c’est New York, je vois la Tour Eiffel en vrai.

 

Premiers pas à la télévision : à 20 ans, me voilà chargée de production à la télévision à France 2 pour des émissions exceptionnelles et de variété.

 

Premiers tournages : à 23 ans, je découvre la joie de tournages de fiction et les documentaires pour les allumés de Canal +.

 

Un nouveau métier : à 25 ans, j’apprends la programmation d’une chaîne de tv (Planète).

 

Création et  lancement de la première chaine de tv féminine  : à 28 ans, je rejoins le groupe M6,  me voilà directrice des programmes de téva.

 

Une année sabbatique à 31 ans : souffler, respirer, dormir, se réinventer, faire autre chose. Prendre du temps pour soi : Pas très à la mode à l’époque !

 

C’est la grande époque des mini dv ! Création d’un programme tourné en « mode selfie », qui restera 8 ans à l’antenne et générera des millions d’euros….le selfie sera créée bien des années aprés…

Auteure bible, scénariste, dialoguiste pour des séries TV, des long-métrages, pour un one man show et parolière de chanson.

 

« Je n’aime pas tout le monde pourtant j’aimerais bien » ou  « De toute façon on va tous mourir »  : c’est au choix, le titre d’ un « seule en scène » sur le « pourquoi on vit ce que l’on vit, et comment on le vit » (si, si) que j’entreprends d’écrire et de jouer autour de mes 40 ans.

 

Mais là, pour la première fois, confrontée à mes zones d’ombres, à mes émotions, à mes peurs,  l’expérience n’est pas un long fleuve tranquille. À cette période, pour moi il est encore plus facile d’écrire, d’imaginer, de créer pour les autres…pas pour moi. 

Et puis...

Je comprends alors que j’ai les techniques, le savoir-faire créatif. En toute humilité je sais tout cela. Mais là mon mindset ne suit pas, je suis prisonnière de mes croyances, blocages, et mes peurs. Mes émotions sont plus fortes que moi.

 

A cette époque, mon cerveau est bloqué par cette petite phrase que l’on m’a tellement répétée : « toi de toute façon tu ne peux pas faire comme tout le monde ».  Qu’est-ce que cela veut dire ? Qu’est-ce que je fais ou ne fais pas comme tout le monde ? Je ne comprends pas. D’ailleurs à ce jour, je n’ai toujours pas compris, pas grave.

 

Cette remarque tatouée à l’encre invisible dans ma tête, a sonné tellement longtemps comme un reproche, comme une invalidité, une incapacité à être comme les autres et surtout à être avec les autres.

 

J’ai alors cherché à comprendre comment mon cerveau fonctionnait, pourquoi cette petite phrase qui parait pourtant si anodine, m’entravait autant.

 

J’ai demandé de l’aide, j’ai appris, je me suis formée, j’ai été curieuse, je suis tombée, je me suis trompée, j’ai recommencé encore et encore, j’ai douté, j’ai tout repris à zéro, j’ai pleuré, j’ai ri aussi, et j’ai appris encore et encore.

 

Alors sereinement et en conscience, j’ai rangé mes cahiers d’écriture, (assurément ils n’ont pas dit leur dernier mot) et j’ai CHOISI de faire de cette tournure d’esprit, de cette petite ritournelle « toi de toute façon tu ne peux pas faire comme tout le monde », une force, en apprenant à la canaliser et en la mettant au service de solutions, de possibilités, de nouvelles idées… je décide de créer alors une agence…

Enfin...

L’agence BEURK, une agence souffleuse d’idées  (comme les anciens souffleurs, au théâtre, chargés de souffler le texte aux acteurs) :  une agence de conseil et de création de marque, de produits, de services, d’offres pour des entrepreneurs qui n’ont plus le temps de créer ou qui pensent ne pas avoir la capacité d’avoir de nouvelles idées.

 

Un laboratoire d’idées, un incubateur de curiosités, dans lequel en « shadow consultant », je conçois en toute confidentialité, de nouvelles marques, produits, ou services, positionnement basés sur la compréhension des nouveaux usages, des nouveaux modes de consommation en cohérence avec la vision, mission et valeurs de l’entreprise qui fait appel à mes services.

 

L’agence BEURK, j’adorais ce nom.

 

Il avait pour mérite de faire une sélection entre des personnes curieuses, ouvertes… qui devenaient des clients et les esprits chagrins qui disaient « mais qu’est-ce-que c’est que ce nom ? c’est vraiment bizarre », qui vous l’avez compris, aller heureusement, travailler avec d’autres agences.

 

Aujourd’hui c’est toujours mon activité principale, mais j’ai, depuis, repris mon nom, Florence MASLANKA pour toutes mes activités de conseil et de création que j’exerce toujours soit en toute confidentialité, soit en collaboration (X). 

 

Et c’est intéressant de voir comment les choses ont évolué…

 

Avant on me disait :

« Toi de toute façon, tu ne peux pas faire comme tout le monde... »

 

Désormais, on me demande :

« Tu n’aurais pas une idée… pour ne pas faire comme tout le monde »

 

Aujourd’hui, je souffle toujours des idées pour les autres.

Enfin,certains autres.

Mais désormais aussi pour moi.

#IdeasConceptStore

Valeurs, les miennes.

L’indépendance, la liberté

Ne pas être dans le prêt à penser, pas dans les idées reçues, dans le « comme il faut être ».

Mener sa réflexion, son enseignement, ses connaissances pour se donner le choix.

Le respect, la justice

Se respecter soi même en se donnant la possibilité, le courage et la reconnaissance d’évoluer.

Respecter les autres (point).

Collaborer, échanger, construire

Interagir dans le « vrai », sincèrement, en dehors de toute posture, en laissant tant que possible notre ego de côté, pour contribuer chacun, car nous sommes tous interdépendants. 

Vulnérabilité & émotion

Être au plus prés de son coeur et partager nos doutes, nos peurs, nos rires et nos bonheurs. 

L’avenir dans un espace donné

Inventer, créer, améliorer…. sans cesse, demain tout est presque possible. 

Le succès

Mais lequel ?

Essayer de contribuer favorablement dans tout ce que je fais à l’habitabilité du monde et à la justice sociale pour réussir individuellement et collectivement.

Petit aparté ...

Plusieurs personnes ces dernières années m’ont posé la question, alors je réponds ici pour tous.

 

Pour ceux qui connaissent le MBTI, je suis INTJ. Enfin c’est une partie de moi.

 

J’aime donner vie à quelque chose qui n’existe pas encore , ce quelque chose créé sur un papier, une feuille, un paper-board…

 

Mon cerveau fonctionne en vue d’ensemble. J’ai une vision systémique des situations : les « petits détails », les grandes lignes, les problèmes, les obstacles et chaque élément prend alors place dans ma tête comme sur une scène.

 

Ce que j’adore le plus, c’est réordonner tous ces morceaux du puzzle.

 

M’amuser à les regarder selon de multiples perspectives, selon certaines tendances, selon certains signaux faibles de la société, et  les réorganiser et parfois même introduire de nouvelles pièces, pour produire une inhabituelle combinaison, un nouvel agencement, ou plusieurs.

 

Plus les modèles sont complexes, plus j’ai du plaisir à élaborer de nouveaux  modèles, des nouvelles idées, de nouveaux concepts qui feront sens.

 

J’aime transformer des principes complexes, en stratégies simples, claires et exploitables pour fournir une vision claire des possibilités à venir.

 

Pour moi, la réalité est malléable, elle se construit.

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